Dieu Comme Patient
Les Chants de Maldoror est un immense cri de révolte, monologue d'un poète de l'égarement. Dérive hallucinée au long des mystères de Paris, dont l'écriture extravagante, l'humour glacé ont envoûté les surréalistes. Avec une caméra, Matthias Langhoff est parti sur les traces d'Isidore Ducasse, dit Comte de Lautréamont, a filmé les rues d'aujourd'hui, s'est laissé guider par les traces des blessures de l'Histoire, par les mots et délires du poète qui disent sa "guerre frénétique contre Dieu et l'Homme".
D'après Les Chants de Maldoror d'Isidore Ducasse, comte de Lautréamont / Montage, mise en scène, décor et film: Matthias Langhoff / Interprétation: Anne-Lise Heimburger, Frédérique Loliée, André Wilms / Peinture: Catherine Rankel, Matthieu Lemarié / Costumes: Catherine Rankl, Corinne Fischer / Lumière: Frédéric Duplessier, Assisté de Eric Marynower / Son Brice Cannavo / Assistants à la mise en scène: Hélène Bensoussan, Caspar Langhoff / Construction décors: Pierre Meine, Peter Wilkinson, l'Atelier de la Comédie de Caen / Régie générale: Peter Wilkinson / Administration, production: Véronique Appel Dakuyo
Une production de la Compagnie Rumpelpumpel / En coproduction avec la MC2 Grenoble, la Comédie de Caen, le Théâtre de la Ville / Avec le soutien du Ministère de la Culture, du Théâtre de l'Aquarium / Et la participation artistique du Jeune Théâtre National.
@2008